bon, aujourd'hui je suis allée voir 21.
J'en pouvais plus de bosser toute la journée sur des putains de projet de béton armé de M**DE.
Et d'archi, aussi.
(j't'en foutrai moi des moucharabieh!)
Bref.
Donc.
Je disais....
Ce film DEFONCE.
Ce film DEFONCE.
Une grosse claque.
L'histoire?
Un geek un peu paumé dans la vie, dans la merde niveau thune, et génie des chiffres.
Son prof de mathématiques non linéaires (non linear mathematics) le repère.
Et l'embarque dans une équipe de jeu de black jack.
Où tu gagnes à chaque fois si tu sais la technique du counting.
(me demandez pas, j'ai pas compris)
(je sais pas jouer au black jack, en même temps)
Ils gagnent un max de pognon à Las Vegas, jusqu'au jour où le jeunot fait son chaud et joue une fois de trop.
Et perd.
Et là, ça part en grosse sucette.
Je vous laisse le suspence de la suite.
Mais putain, trop bon.
Mais putain, trop bon.
trop, trop bon.
Je vous le recommande plus que chaudement, en tant que "bloggeuse" non influente.
(je me considère même pas bloggeuse en fait, c'est assez bizarre, je dois être un genre d'hybride indéfini)
Sinon, tout à l'heure, j'étais en ville à la recherche d'un sandwich mangeable, et il y avait, au fond d'un café hyper hype, écrit en énormes lettres que tu peux lire depuis 50m : Bite.
Sinon, tout à l'heure, j'étais en ville à la recherche d'un sandwich mangeable, et il y avait, au fond d'un café hyper hype, écrit en énormes lettres que tu peux lire depuis 50m : Bite.
(je sens que mes stats vont monter encore)
J'ai pas réussi à voir le reste. Je suppose que ça a à voir avec manger, croquer (to bite) (se prononce Baïte, pour les quiches en anglais).
Mais quand même, ça surprend, quand t'es frenchie.
Ensuite, je vais à la state library pour bosser mon archi (argh), et là, une nana qui s'énerve toute seule et frappe le banc violemment avec sa bouteille de Coca, comme si c'était quelqu'un.
Ensuite, je vais à la state library pour bosser mon archi (argh), et là, une nana qui s'énerve toute seule et frappe le banc violemment avec sa bouteille de Coca, comme si c'était quelqu'un.
Et lui parle comme si c'était quelqu'un.
Enfin parle... hurle, plutôt.
Et reviens genre "What did you say? what did you say?"
(j'avais mon I-pod sur les oreilles, donc j'ai pas entendu clairement)
(J'écoutais GOTYE, ça défonce, je vous le recommande aussi chaudement - découvert dans l'aéroport de Avalon, quand je suis allée à Sydney avec Raoul)
Enfin bref, je l'ai bien évitée pour pas qu'elle me frappe.
(c'est bon ça m'est déjà arrivé une fois au cinéma maintenant je me méfie)
C'est amusant comme les anglais la regardaient, clairement "mais quelle folle", mais avec cette retenue et ce "je m'en foutisme" tellement anglais.
J'adore.
Comme l'autre jour où un mec est trop vénère dans la librairie parce que la caissière avance pas assez vite et que du coup il est trop vénère.
Et la caissière, avec toute la retenue et le calme anglais, lui dit :
"Would like to spit in my face as well?"
(pour les quiches : voulez vous aussi me cracher à la figure?)
Tellement plus classe qu'un bon français qui sort "c'est quoi ton problème mec?"
(c'est ce que j'aurais dit - non, je n'ai pas la classe)
Demain, je vous parlerai de mon mal du pays, et de mes kilos en trop liés à mon sens incroyable de failure (le fait d'échouer - échouement??) pour perdre un gramme de la graisse qui constitue mon corps.Messieurs, vous ne vous ennuierez pas, promis.
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