4/30/2008

quand une couleur de cheveux attirent les dingues

aujourd'hui, joie bonheur, une vieille au supermarché après avoir complimenté ma couleur de cheveux (tu m'étonnes, mes cheveux pètent), a cru que j'étais scottish, et n'aurai jamais cru que j'étais française (dixit elle). Comment je suis trop fière, mon accent il déchire maintenant =p
Bon, sinon j'ai l'art d'attirer les psychopates : avant-hier, alors que raoul était avec moi ici (je vous raconte pas à quel point ça nous a fait un bien fou de se revoir!), je regardais les sushis dans la vitrines, et une vieille qui hurle "GET OFF GET OFF" et commence à limite me frapper, enfin au final elle a juste fait un frite sur mon cul, mais c'est quoi son problème!!! Je l'ai insultée en français, elle a rien compris c'était trop le bonheur.
Ensuite, j'attendais devant le chiotte public pendant que monsieur faisait ce qu'il avait à faire (pas de blague salace merci), et un mec qui arrive et qui manque de me frapper aussi. Je me retourne (parce qu'en fait j'étais tellement crevée que j'ai même pas réagi, pas de peur en moi, je suis trop forte), et il marchait pas droit, poussait des cris bizarres (ya même pas d'onomatopée pour ça) et levait et bassait les bras de façon aléatoire.
Ca doit sûrement être les cheveux rouges.
J'aime mes cheveux, sauf quand ils attirent les tarés.
Ah et sinon, Raoul est parti hier après un séjour de 10 jours ici, les premiers jours ont été tendu tendus, mais après de longues conversations pas forcément sympas mais malheureusement indispensables, l'amour est réapparu plus fort que jamais (pas que je l'aimais plus, mais j'étais un peu vide de tout après tous les évènements...).
Je l'aime je l'aime je l'aime je l'aime.
et putain, qu'est-ce qu'il me manque!

4/28/2008

self esteem

c'est marrant comme la confiance en soi fait du yoyo chez moi.

Des fois, j'me sens bien dans ma peau, j'me dis que je suis une fille qui peut intéresser, qui est loin d'être parfaite, qui a pleins de défauts mais qui a aussi des qualités qui font que des gens peuvent l'apprécier.
(fait bizarre de parler de soi à la 3e personne...)

Et en ce moment, bin non.
En ce moment, je me sens la fille la plus inintéressante, moche et grosse de la terre.
Je ne suis pas obèse, certes.
Mais quand même, mon corps a la facheuse tendance à me dégoûter ces derniers jours. Sûrement à cause qu'à sydney et en australie en général, les nanas sont putain de biens foutues et de belles.
Et que du coup, je les regarde, je me compare (cf mon 2e billet), et je me sens moche.
C'est nul comme réaction, je sais. Mais c'est comme ça.
Et surtout, ça faisait longtemps que ca ne m'étais pas arrivé.
J'avais réussi à passer ce cap de "ahhh envie de casser le miroir quand je me vois dedans".
Bin à croire que c'est comme la drogue, ya des rechutes.
Mais j'y crois, demain je vais retourner au sport (les derniers évènements m'avaient sévèrement démotivée, ce qui est naturel je suppose).
Et avec le sport reviendra la confiance en moi.
C'est bien quand les solutions aux problèmes se trouvent aussi facilement.
Heureusement que j'aime le sport.

et en cadeau, une photo de sydney (encore)
je suis rentrée à Melbourne, mais quand même.
(je suis amoureuse de l'opera house, mais je mets une photo du harbour bridge, histoire de varier)
c'est marrant comme on peut faire croire qu'on n'a aucun problème, sur une photo.
Suffit de sauter.
(phrase à méditer, tiens)

4/27/2008

sydney


oui, je suis à sydney en ce moment, et je le prouve.



4/24/2008

être ou ne pas être.

Je vais mieux, je suis d'attaque pour mettre de nouveaux posts.
souvent, je regrette de ne pas faire partie de la jeunesse huppée de notre pays.
Je les cotoîe pas mal, je vais sur leurs blogs, etc.
Leurs vies sont remplies d'aventures, entre la drogue, l'alcool, les sorties en boîtes branchées et les voyages dans les villes de riches (Cannes, Deauville, etc), ou même autour du monde (New York, Los Angeles, Milan, Rome, etc).
Je ne dis pas que je veux être une névrosée, ce côté de la chose ne m'intéresse pas.
Me bourrer tous les soirs, me défoncer le nez à la cocke, non merci.
Mais, avoir de la thune, pouvoir partir où je veux quand je veux, vivre ou être témoin des histoires rocambolesques dans le cadre de mon taf (avec pleins d'histoires de cul entre collègues, de coups de putes entre commerciaux, etc), oui, ça ça me branche.
Avoir une vie à 100 à l'heure, sortir, rigoler, profiter, sansse soucier des problèmes de devoirs à la maison, de temps qui manque, et surtout des problèmes d'argent, ça ça me branche vraiment.
Je suppose que ce n'est qu'une utopie que de s'imaginer cette vie pour eux, parce qu'en moyenne ils sont surtout de gros névrosés de la vie, qui ont un mal de vivre clair, notamment parce que leurs parents n'étaient pas présents.
Les miens sont présents, enfin ma mère est présente, voir même beaucoup trop. Et mon père, bin il se rend compte qu'il a un peu foiré en tant que père.
Et leur vie de couple est déprimante de tristesse, en prime.
C'est pour ça que parfois, j'me sens pas si loin de ces jeunes des quartiers riches, parce que moi non plus j'suis pas loin de la névrose.
Au moins la mienne est positive : je ne fume pas, je ne bois pas, je ne me drogue pas.
1) parce que j'aime pas
2) trop peur de ce qui pourrait arriver, de ce que je pourrais dire, penser ou faire.
Peur de lâcher prise, peur de perdre le contrôle des choses. Depuis que je suis en Australie, ça va beaucoup mieux, mais pour combien de temps? Est-ce que j'arriverai à rester comme ça quand je rentrerai en France?
Paris est une ville de stressés, ya moyen que tous les progrès effectués ici partent en fumée de retour à Paris.
En plus, il reste toujours la question de savoir si je suis à ma place, si mes études me conviennent, si je suis pas plutôt faite pour rester sur mes chevaux, enseigner l'équitation, et me faire du fric sur le dos de ces gens pétés de thunes...
Faire partie d'eux, ou profiter d'eux.
Ahah. Toute ma jeunesse, je me suis dit que je ferai de grndes études pour infiltrer le monde huppé et le "pourrir" de l'intérieur. Finalement maintenant la question se pose si je ne suis pas simplement comme eux.

4/19/2008

les citations du jour (Pierre Desproges)

Jesuis désolée, j'ai pas le courage encore de taper quelque soit de correct. Donc, je me rattrapes avec des supers citations de Pierre Desproges.
Ce mec est bien plus intelligent que quiconque, et surtout avait un réel sens de l'humour.
"L'intelligence, c'est le seul outils qui permet à l'homme de mesurer l'étendue de son malheur."
"Le savoir-vivre est la somme des interdits qui jalonnent la vie d'un être civilisé, c'est à dire coincé entre les règles du savoir-naître et celles du savoir-mourir."
"Je suis un gaucher contrariant : c'est plus fort que moi, il faut que j'emmerde les droitiers."
"L'intelligence, c'est comme les parachutes : quand on n'en a pas, on s'écrase."
"Si c'est les premiers qui sont les meilleurs, alors que penser des éjaculateurs précoces?"
"Testis unus, testis nullus : on ne va pas bien loin avec une seule couille."
"On reconnaît le rouquin aux cheveux du père et le requin aux dents de la mère."
"Les chevaux sont tous des ongulés. Mais ce n'est pas une raison pour les prendre pour des cons."
"Le rire n'est jamais gratuit : l'homme donne à pleurer mais prête à rire."

4/16/2008

La mort, c'est un peu comme une connerie. Le mort, lui, il ne sait pas qu'il est mort. Ce sont les autres qui sont tristes. Le con, c'est pareil.

Aujourd'hui, je suis confrontée à la dure réalité de la vie.
OU plutôt de la mort.
Un de mes amis proches que j'ai rencontré ici en australie, M, s'est suicidé lundi.
J'ai appris ça hier soir.
J'évolue entre impossibilité d'y croire, incompréhension, culpabilité.
Comment ai-je pu être aussi aveugle.
Comment se fait-il que personne n'ait vu son désespoir, sa détresse.
Je ne peux pas croire qu'il est mort, je ne peux pas.
Il n'avait que 24 ans. Il ne peut pas être mort, il ne peut pas, il n'a pas le droit.
Une amie lui a parlé vendredi, il avait l'air fatigué, mais il a beaucoup de travail pour ses cours.
Donc elle a cru que c'était ça, et ne s'en est pas plus souciée.
Son dernier message a été mis sur facebook, lundi à 8h30 du matin :
"Matthieu is disappointed".
Je ne peux pas croire qu'il soit mort.
Je le revois encore rouler ses clopes dans la voiture pour sydney, boire son verre de whisky en rigolant avec salvador et dominik.
Sortir des blagues en anglais.
Appeler sa copine.
Fumer sa clope en regardant la mer.
courir sur la plage pour faire peur aux mouettes.
Se marrer en voyant Mario bourré.
aider Mario à conduire sur le chemin du retour.
Dormir sur mon coussin tour de cou spécial voyage.
Critiquer l'accent atroce de Dominik.
M'appeler pour savoir comment je sais qu'il est allé au musée avec Anna.
Gérer l'organisation du voyage pour sydney.
Rouler sur son vélo.
Se balader avec son énorme sac à dos de voyage sur le dos.
Et j'en passe.
Qu'est-ce qui a pu faire qu'il soit aussi désespéré?

Face au suicide, on est tous impuissant.
J'ai reçu des mails de ses amis, personne ne comprend, c'est l'incompréhension totale.
Comment peut-on être aussi désespéré pour vouloir mettre fin à ses jours comme cela...
Je ne sais toujours pas comment et pourquoi, et je n'en peux plus de ne pas savoir.
J'ai passé la nuit la plus horrible de ma vie.
Je ne faisais que penser à lui. Pourquoi, pourquoi, pourquoi.
On aurait dû voir, on aurait dû pouvoir le soutenir.
J'ai rêvé de la mort, qu'elle m'emportait moi aussi, et que je n'y pouvais rien. Et j'avais une peur atroce dans le ventre. J'ai rêvé de la tristesse des autres, de la douleur de son entourage.
Je l'ai vécue, à la place de chacun, successivement.
Et son colocataire qui l'a découvert... Ca doit être horrible de vivre dans la même maison qu'un mort. De l'avoir découvert. ces images doivent le hanter...
Je n'ai pas la force d'aller à sa maison. Certains me l'ont suggéré, je ne peux pas. Je n'en ai pas la force. Je ne peux pas imaginer faire tout le trajet en tram jusqu'à sa maison, sentir l'odeur de sa maison, voir sa chambre... Non, impossible.

Je suis perdue, je veux savoir. Et je ne pourrai même pas aller à son enterrement, vu qu'il se passera en France...
J'espère qu'ils organiseront quelque chose ici, en sa mémoire.

La vie est injuste.

4/12/2008

to be or not to be.

Alors, avec Raoul, avant que je parte en Australie, on voulait emménager ensemble.
Parce qu'on était toujours fourrés ensemble 24/24, et que c'était bête de payer deux appart' pourri alors qu'on peut en avoir un bien ensemble sans que ça change quelque chose.
Le problème est, que je me rend compte que maintenant je suis plus très sûre de vouloir vivre avec lui.
Déjà parce qu'on est loin l'un de l'autre en ce moment, qu'il me manque mais que je kiffe aussi ma vie toute seule, et que parfois, même loin, il arrive à me gonfler méchamment.
Et le fait d'être loin me faire me rendre compte à quel point il peut être parfois perso (mais ça je le suis aussi donc ce n'est que le juste retour des choses), gamin et egocentrique.
Gamin parce qu'il me tape des cacas nerveux parfois pour rien. Je les faisais avant de venir ici, faut dire. Mais d'être venue ici m'a fait me rendre compte de tellement de choses, m'a fait tellemetn changé, que maintenant je trouve ça tellement inutile et gamin ce genre de réaction... Enfin bref.
Et par contre, le truc qui m'orripile et qui m'a toujours orripilée, c'est qu'il me prend pour une gamine dès qu'i lest sûr d'avoir raison et que j'ai tord. Et il n'y va pas de main morte!
Genre il me dit "Mais ta gueule", "t'es trop conne", blablabla. Pour les mots gentils, on repassera.
Genre, il me demande de tout organiser pour quand il arrivera ici, mais dès que je lis mal un truc ou quoi, hop c'est dans ma gueule.
Mais méchamment, dans ma gueule.
D'un autre côté, il me fait tellement rire, il est tellement adorable, tout ça...
En gros, je sais foutrement pas quoi faire.
En plus ma meilleure amie depuis 12ans, BN, va revenir sur paris l'an prochain après avoir fini ses études en école de commerce à Angers.
Et faire une coloc ensemble est une chance inespérée.
On va s'éclater, et c'est le moment ou JAMAIS de le faire.
Je n'ai que 21 ans, et je suis pas non plus très sûre de vouloir me retrouver dans une relation longue avec pleins d'effort à faire et tout... Je voudrai profiter. Et je suis pas sûre que je serai très heureuse dans le schéma "on vit ensemble, on construit un truc ensemble".
Ca fait un peu genre "c'est pour la vie".
Et merde, moi j'veux profiter d'ma jeunesse, aussi.
Déjà que je bois pas (j'ai beau me forcer, j'peux pas, j'aime vraiment pas ça), que je fume pas (je suis à moitié allergique), et que je me drogue pas... Si en plus j'peux même pas m'amuser comme je veux...
Enfin bon.
On verra quand je rentrerai, parce que de toute façon y'a encore rien de fait. Mais bon.
Quand même.
AAhhh c'est pas facile d'avoir 21 ans.

la vie est un long fleuve tranquille.

Avez-vous déjà pensé à ce que vous faites lorsque vous vous baladez tranquillement dans la rue?
L'autre jour, je me demandais, et voilà ma conclusion :
Je mâte les gens.
Je me demande un peu où est mon problème. Je mâte les gens, les mecs, les nanas, tout le monde. Les mecs, parce que je suis bel et bien hétéro et que bon mâter reste mâter, ça fait toujours du bien (sauf quand le mec est moche, dans ce cas tu tournes les yeux).
Et pourquoi ls nanas? Bin, pour se comparer à elles.
C'est probablement un gros manque de confiance en soi. Oui en fait ça l'est.
Mais je ne l'avouerai jamais à la face du monde, seulement mes amis les plus poches seront au courant (et vous chers lecteurs, parce que vous le valez bien).
Et quand je dis me comparer, c'est pour tout :
- 'tain elle a un cul d'enfer, je veux le même.
- OOUuhhhh c'est ce qu'on appelle une planche à pain, bien contente d'avoir mes (gros) seins.
- 'tain cette nana est canon. J'ai un peu envie de me pendre là. Va vite te cacher ma p'tite Anyia, tu ressembles à rien.
- Roh la vache, jamais vu un thon pareil. J'ai au moins la chance d'être pas moche à ce point.
- 'tain paye ta tête de cochonou là.
- houla, les jambonneaux à la place des jambes, pas bon ça.... Merde, j'ai les mêmes.
- AAAAHHH ses cuisses se touchent pas quand elle marche. CONASSE.
OUi, tout ceci est basé sur l'apparence physique. Faut dire que mon corps n'est pas le genre à être d'accord avec les canons de la beauté actuelle. Pas que je sois grosse, mais je suis tout en forme, gros seins gros cul, tout ça.
Pas facile à assumer tous les jours ... Même si les hommes ont plutôt l'air d'apprécier, je subis tous les jours le regard accusateur des nanas minces et belles - et des mecs qui aiment les nanas minces et belles - qui me disent, en gros "'tain tu t'entretiens pas, t'as aucune estime de toi, regarde-moi cette graisse". Mais SI je fais plein de sport, tout ça, c'est juste que mon corps n'est pas fait pour être mince. La seule fois où j'ai réussi à être mince, c'était dans ma période anorexique.
Ma mère tente de me rassurer en disant "au moins t'aura aucun mal pour accoucher".
Merci maman, ça me réconforte. Comme si j'avais envie d'avoir un bébé, là tout de suite.
Et puis certes, peut-être que les nanas minces et belles - et les mecs qui aiment les nanas minces et belles - sont con(ne)s. Mais en même temps, dans la rue, tu vas pas t'arrêter et parler à tout le monde pour comparer leur intelligence à la tienne.
En plus la mienne est élevée... Si si j'vous assure.
Bon ok, je mens.
Enfin bref.
Et cela ne s'arrête pas à la rue, en fait.
Je fais des études d'architecture, et qui dit architecture dit présentation orale de son travail.
Et c'est là que le bât blesse.
Je suis toujours, continuellement, irrasciblement (remarquez le mot intelligent placé entre deux), stressée.
Mais genre stressée stressée, genre t'as envie d'aller pisser avant de faire ta présentation, genre tu préférerais mourir plutôt que de la faire.
Un peu comme si j'allais passer mon permis ou mon bac, d'ailleurs. (je les ai eu du premier coup il y a maintenant plus de 3 ans, une bonne chose de faite j'vous le dis)
Enfin bref.
Vous me direz "mais pourquoi tu stresses comme ça, ça sert à rien".
D'autant plus que moi quand je stress je perds mes moyens... Ce qui explique mes résultats médiocres en prépa et aux concours d'école d'ingé - ok je mens encore. Enfin je perds mes moyens, mais mes notes sont justifiées.
Bref.
Donc, pourquoi je stresse?
Parce que pour moi, c'est comme si les gens me jugeaient moi. A travers mon travail, il y a moi.
J'ai mis une part de moi dans ce boulot.
Du coup, si c'est nul, ça veut dire que je suis nulle. Parce que j'ai pas été capable de faire un truc potable.
C'est un peu egocentrique comme façon de penser, je confirme.
Je pense trop à moi et pas aux autres. Un gros défaut que j'ai. Mais bon.
Enfin bref, en attendant, je marche comme ça.
tout ceci est un manque de confiance en soi évident.
Si quelqu'un a un remède, merci de me le transmettre.
Je vous donnerai en échange toute mon estime.

4/10/2008

introduction

Bonjour, lecteur.


Tu dois te demander, avec le titre pourri et le jeu de mot foireux de l'adresse, ce que c'est que ce blog.

Ce blog est tout bêtement mes interrogations, mes problèmes, mes emmerdes, dans ma vie de jeune française.

Parisienne d'origine, je suis actuellement exilée en australie à Melbourne, mais ce n'est que temporaire.

Paris, ma ville d'origine, ma ville de toujours, la ville que j'aime qui est dans mon coeur, j'y retourne en septembre, après avoir fait 2 mois à l'île de la Réunion pour mon stage (si c'est pas la classe ça).

Ce blog, je l'ai créé pour pouvoir écrire ce que je pense sans que personne de mon entourage ne puisse le lire, même pas mon homme. (que j'appellerai Raoul, pour l'occasion)

Alors n'hésite pas à t'exprimer, à dire si t'es d'accord ou pas, tout ça.


Bienvenu, et bonne visite =)

ps : mon blog "officiel" australien ici...